mercredi 6 février 2008

Pierre Schaeffer … un monument

Ça va vous paraître drôle que je parle de Pierre Schaeffer ici, mais je devais le faire. J’ai du présenter son parcours de travail pour mon cours d’histoire de l’expression visuelle et sonore à l’université. Après réflexion sur le sujet, je m’aperçois que cet homme est pratiquement un DIEU. Pour ceux qui ne connaissent pas Pierre Schaeffer, il est le créateur de la musique concrète.

« Nous avons appelé notre musique ‘’concrète’’ parce qu’elle est constituée à partir d’élément préexistants, empruntés à n’importe quel matériau sonore, qu’il soit bruit ou son musical, puis composée expérimentalement par une construction directe, aboutissant à réaliser une volonté de composition sans le secours, devenu impossible, d’une notation musicale ordinaire. »1

« La photographie, qu’on l’avoue ou le nie, a bouleversé la peinture, tout comme l’enregistrement du son est entrain de bouleverser la musique. Peinture abstraite et musique concrète sont des réplique décalées dans le temps, mais symétriques. Le premier collage de bouts de sons enregistrés que j’ai commis en 1948, tout comme le premier collage surréaliste, doit déclancher une évolution irréversible. Tant que le son restait à l’état évanescent, subordonné à l’instrument direct et à l’instrumentiste, on demeurerait dans une musique traditionnelle, étroitement emprisonnée dans les symboles du solfège. Dès lors que le son, captif sur un disque ou une bande magnétique, devient le jouet de nos montages, après avoir été celui de nos manipulations, il échappe à l’univers de la note, s’enrichit de nouveaux paramètres. Il en est de lui comme images : la musique concrète naît avec la violence du cinéma. »2

En gros, c’est le père du micro montage. Il utile tous les sons qu’il peut trouver. Pour lui, il y a aucune descrimination d’un son. Chacun d’eux possède un potentiel compositionnel très intéressant. Encore plus avec l’expérience de la cloche coupée. C’est-à-dire qu’il supprime volontairement l’attaque du son pour en garder la résonance. Ce qui lui donne une possibilité encore plus grande de sons a utilisés. En lisant sur son parcours, j’ai appris beaucoup de chose. Ça m’a permit de mieux me positionner dans l’univers du micro montage. En écoutant son œuvre, j’ai une meilleure connaissance de ce que ça signifie le terme : « thème et variation ».

Sources :

1- Schaeffer, Pierre, « La musique concrète », Presse Universitaire de France, Dix-huitième mille, 1973, p.16

2- La revue musicale : Expériences musicales, musique concrète électronique exotique par le GRM de la RTF, Pierre Schaeffer, Richard-Masse, Éditeur 1959. p.57

lundi 21 janvier 2008

Marketing expérientiel / évènementiel

Marketing expérientiel

Pour cet article je m’inspire de celui de Geoffroi Garon, de K3-Média, agence multimédia en pleine croissance à Montréal et expert en réseaux sociaux : 3 tendances marketing en 2008 : Social, mobile et expérientiel.

Je crois ce cette forme de marketing sera une des tendances pour les médias interactifs. Les gens, veulent toucher, vivre une expérience et pourquoi pas combiner cette volonté avec un évènement, un produit ou un service. Il y a beaucoup de possibilités avec les univers immersifs ou les installations interactives pour ce genre de marketing. À la limite…, le domaine du multimédia, avec des sites en Flash, peut très bien faire le travail. Tout est dans le concept, le reste c’est une peau qu’on applique sur le squelette. C’est là dedans que je veux diriger mes compétences acquises à l’intérieur de mon bac! Il n’y a pas beaucoup d’agence à Montréal qui a reniflé cette opportunité.

Petite expérience perso ...

Bonne année à tous! Eh oui, je m’excuse de ne pas avoir entretenu mon blogue ici depuis la fin décembre. J’avais besoin de déconnecter avec ce que j’avais dans mon entourage! D'ailleurs, je n’aime pas vraiment écrire pour le devoir d’écrire. Vaut mieux se taire que dire des conneries. Alors me revoici en force pour 2008! Eh non je ne vais pas faire mes prédictions pour cette année, à part peut-être dire qu’elle serait prometteuse de surprise. Je sais que c’est conservateur comme analyse, mais je laisse cela à l’expert du domaine de déblatérer sur ce que la nouvelle année nous réserve.

Je vais plutôt vous parler de mon expérience que j’ai eue hier… en me commandant… du St-hub. Je crois voir d’ici déjà la question : mais où est-ce qu’il s’en va avec son poulet!?!

Eh bien, c’est très simple. J’ai voulu appeler chez St-Hubert pour passer ma commande. Après 4… 5 reprises pas capables d’avoir la ligne. En niaisant mon cousin juste avant d’appelé à la rôtisserie, je lui ai fait part que je voulais passer ma commande par internet. C’est ce que j’ai finalement fait. J’ai vu qu’on pouvait avoir accès à une section (première visite).

Alors, je commence à entrer les informations sur la région, ensuite je choisis ce que je veux commander, il y a même un petit panier qui te dit exactement combien ça coûte avec les taxes. J’ai créé mon compte à la fin (C’était un des principaux obstacles dès le départ, la création d’un compte pour juste une commande en partant). Ensuite, je devais choisir le mode de paiement comptant ou crédit puis les infos relatives au domicile et on envoi le tout et le site m’a averti qu’il en faudrait environ 45 min pour recevoir la livraison.

C’était ma première expérience de commande par internet et j’ai trouvé mon expérience assez intéressante! J’aurais attendu longtemps après la ligne, je crois. Par internet ça été direct, rapide et efficace, car j’ai eu ma livraison avec + ou – 15 min de retard. Point de vue ergonomie c’était assez intuitif. Bon vous allez dire qui était temps que je sors un peu de chez moi et que je m’y mets à ce genre de système. Peut-être, mais ça m’arrive rarement de commander alors il y a un début à tout!